"Le secteur de la restauration scolaire se convertit peu à peu au bio mais cela prend du temps.
La part des achats alimentaires de la restauration collective (dont le scolaire fait partie) est encore de moins de 4%. Beaucoup de freins persistent : Le bio coûte plus cher, nécessite une volonté politique et une formation des équipes (adaptation à de nouvelles recettes, produits de saison et travaillés frais, approvisionnement de proximité, réduction des portions pour éviter le gaspillage…). Pourtant certaines municipalités parviennent à constituer des repas bios. Comment font-elles ? Toutes les cantines peuvent elles se convertir au bio ?
Plus d’informations :
www.dijon.fr"
Monday, January 8, 2018
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
No comments:
Post a Comment